Moyens financiers consacrés à la justice : « on subit en quelque sorte une double peine ».
Magali Clavie, présidente du Conseil supérieur de la Justice, a été interviewée sur le rapport publié par le SPF justice en ce mois de juin 2018. Ce rapport « fournit un aperçu des chiffres sur le budget et le personnel du SPF Justice, le travail de l’organisation judiciaire, des établissements pénitentiaires et des maisons de justice ».
Vous en saurez également plus sur l’adoption internationale, les changements de nom et/ou de prénom, les enlèvements internationaux d’enfants, les fondations d’utilité publique, les ONG internationales, les mineurs étrangers non accompagnés (MENA), la coopération internationale en matière pénale, les armes et les demandes de grâce ».
Magali Clavie donne également son avis sur la féminisation à géométrie variable de la justice.
Sur l’état de la justice, en 2016, le budget a été raboté de 6 pourcents. La présidente du CSJ considère cette diminution du budget comme « une double peine car ces efforts ont été imposés à un moment où la justice était déjà exsangue ». Elle cite notamment les problèmes qui touchent au service informatique du pouvoir judiciaire pour appuyer son propos. Magali Clavie, présidente du Conseil supérieur de la Justice, a été interviewée sur le rapport publié par le SPF justice en ce mois de juin 2018. Ce rapport « fournit un aperçu des chiffres sur le budget et le personnel du SPF Justice, le travail de l’organisation judiciaire, des établissements pénitentiaires et des maisons de justice ».
Vous en saurez également plus sur l’adoption internationale, les changements de nom et/ou de prénom, les enlèvements internationaux d’enfants, les fondations d’utilité publique, les ONG internationales, les mineurs étrangers non accompagnés (MENA), la coopération internationale en matière pénale, les armes et les demandes de grâce ».
Magali Clavie donne également son avis sur la féminisation à géométrie variable de la justice.
Sur l’état de la justice, en 2016, le budget a été raboté de 6 pourcents. La présidente du CSJ considère cette diminution du budget comme « une double peine car ces efforts ont été imposés à un moment où la justice était déjà exsangue ». Elle cite notamment les problèmes qui touchent au service informatique du pouvoir judiciaire pour appuyer son propos.
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