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La Libre relaie la carte blanche de 10 associations dans le cadre de la journée de la justice

Ce lundi 20 mars 2023, dans le cadre de la journée de la justice, La Libre relaie la carte blanche signée par dix associations – dont l’ASM – qui attirent l’attention sur l’importance d’un état de droit. Ces magistrats et avocats dénoncent le non-respect de décisions de justice par la Belgique. L’Etat belge a ainsi été condamné à de nombreuses reprises pour le manque d’accueil des demandeurs d’asile, la surpopulation carcérale, le non-remplissage des cadres de magistrats, etc.
Les inquiétudes quant au maintien d’un Pouvoir judiciaire indépendant sont en outre réelles : le gouvernement aurait actuellement pour projet d’introduire un droit de veto sur la nomination des magistrats par le biais de l’avis d’une autorité administrative sans contradiction possible.
Depuis 2015, les acteurs de la justice se mobilisent, en Belgique, pour dénoncer le manque criant de moyens et les répercussions de ce financement insuffisant sur l’accès à la justice et le droit à un procès rapide et efficace.
En 2019, dans le cadre de la campagne électorale fédérale, l’ensemble des avocats, magistrats et associations de défense des droits humains avait synthétisé les revendications en six points. Celles-ci sont exclusivement tournées vers une amélioration du fonctionnement de la justice, ses acteurs s’engageant à continuer à œuvrer, au quotidien, à faire un travail de qualité.
Retrouvez l’article ici

Proposition de la NVA : Elus ou juges, qui décident ?

Sur LN24, ce 28 février 20, Manuela Cadelli et Catherine Depoorter élue NVA débattent. La N-VA veut supprimer le principe de « standstill », si essentiel en droit de la sécurité sociale et détricoter l’article 23 de la Constitution. Le dernier mot doit revenir au parlement, l’électeur devant pouvoir choisir de durcir la politique migratoire ou l’accès aux prestations sociales, sans être entravé par des juges « activistes ».
Nous sommes entrés dans une bien sombre période…

L’aide à la jeunesse à l’agonie

Face à l’indifférence du monde politique, les juges de la jeunesse et le parquet de Bruxelles sont récemment montés au créneau afin de dénoncer les conséquences des politiques d’austérité sur le secteur de la jeunesse.

Monsieur le juge Olivier Mallinus, dénonce, à raison, le manque cuisant de moyens alloués à l’aide à la jeunesse et à la justice des mineurs en général.

Retrouvez la vidéo sur La RTBF 24/10/2022

 

Une prison n’est pas un Tribunal

Alors que l’Exécutif fédéral du Royaume vient tout juste d’inaugurer la nouvelle prison d’Haren – que dit-on, le village pénitencier – Maître H. Laquay, nous fait part, de manière très juste, de ses craintes quant à l’objectif du Gouvernement d’y organiser des audiences judiciaires.

N’en déplaise aux dictats de l’économie et de la sécurité, la prison n’est pas un tribunal et le tribunal n’est pas une prison. Au nom de la séparation des pouvoirs, ces lieux gagnent à être séparés.

Dans le prolongement des craintes de Maître H. Laquay, l’Association syndicale des magistrats souligne que la tenue d’un procès en visioconférence ne pourrait davantage être la solution à la tenue des audiences en prison.

Voir l’article dans La Libre 12/10/2022

 

Le nouvel essai de Manuela Cadelli ou le devoir de militance des juges

Dans une interview dans La Libre, Manuela Cadelli s’exprime à propos de son dernier essai « La légitimité des élus & l’honneur des juges » paru aux Editions Samsa. Elle invite les juges à être des lanceurs d’alerte pour éviter que le pire de l’Histoire ne se reproduise. Elle poursuit : La Shoah est la preuve historique qu’on ne peut pas se passer des droits de l’homme, qu’on ne peut pas maintenir un monopole de légitimité démocratique dans le chef des seuls élus. L’élection, ce n’est pas rien, c’est un grand progrès civilisationnel mais cela ne suffit pas à empêcher que le pire ait lieu.

Retrouvez l’intégralité de l’article de La Libre 08/09/2022

 

Grèce : une justice malade

Tribunaux engorgés, affaires qui traînent, manque de personnel (il manquerait 3000 fonctionnaires pour réduire les arriérés), juges licenciés pour « retards injustifiables dans le traitement de leurs dossiers », policiers couverts et jamais punis : la justice en Grèce est mal en point.

Voir l’article d’Angélique Kourounis dans La Libre 04/08/2022

 

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